Le ventre creux RES Maritza

Miguel avait eu quelques heures auparavant Maritza au téléphone et ils s'étaient convenus d'un rendez-vous. Miguel infatigable coureur de jupon c'était calmé grâce à sa rencontre avec la jeune fille, il ne pensait presque plus qu'à elle, bien sûr quand une jolie fille lui faisait des avances il ne refusait pas, car il n'était pas avec Maritza, la fille qui hante ses nuits. Lui-même ne savait pas si, il pourrait rester sérieux avec elle, mais il en avait envie, car pour Miguel, elle représentait tout ce qu'il cherchait chez une femme.

Il regarda l'heure sur sa montre, il était 9h00 et décida de se préparer, il souleva la couette, se mit tout nu et fonça sous la douche où il passait bien 15 bonnes minutes, une fois sec, il se rasa et partit dans sa chambre s'habiller. Il enfila un pantalon noir à pince avec un tee-shirt blanc et un gilet noir col V par-dessus, il passa une main dans ses cheveux puis se dirigea vers le salon. Il alla chercher ses chaussures et hésita un instant avec ses baskets blanches et ses chaussures de ville. Il opta finalement pour ses baskets blanches, une fois prêt à décoller, il attrapa sa sacoche que lui avait offert Maritza pour lui montrer qu'il aimait son cadeau et surtout qu'il pensait à elle.

Devant la porte d'entrée, il savait qu'il oubliait quelques choses, mais quoi... Miguel s'en rappela et pour la peine se mit une tape sur le front, ses lunettes de soleil qui faisaient de lui une vrai star. Il sortit enfin de chez lui à 9h20 et se dirigea vers le parking, en marchant gaiement rien qu'à l'idée de voir celle pour qui il avait craqué, bien, qu'il avait, une peur bleue de lui révéler qu'il en pinçait pour elle de peur de tout gâcher de leur histoire d'amitié, en ne sachant pas si, il assurait côté amour, car il n'avait jamais eu de vrais relations. Miguel ne s'en inquiétait pas plus que ça, car la jeune fille n'avait jamais rien évoqué ni même sous-entendu, d'ailleurs ils n'avaient jamais parlé de leurs histoires d'amour respectives même si Miguel n'en avait jamais vraiment eu.

Une fois installé dans sa voiture, il alluma le poste de radio et démarra sur un air de rock. Il arriva quelques minutes plus tard en avance au rendez-vous et se gara à côté décidant d'attendre la jeune femme, appuyé sur sa voiture histoire de la reluquer quand elle arriverait.

Ce n'était sans doute pas une passion pour Maritza que de se lever tôt. Déjà qu'elle devait le faire pour se rendre en cours ou au travail, et bien dorénavant, elle devait aussi le faire pour allez prendre un petit-déjeuner avec ce cher Miguel. Mais en sachant que c'était lui, elle n'avait su résisté à ces charmes et avait craqué en acceptant sa proposition. Il fut donc 8h12 quand la belle osa enfin sortir de son lit. Ayant prit soin d'allumé son réveil pour 8h, il lui avait quand même fallut 12mn pour se lever. Dur. Une fois debout, elle prit tout son temps, pendu devant sa grande armoire, à la recherche d'habit qui irait parfaitement à la situation. Ni trop, ni pas assez, car oui, la jeune femme surveille son image. Elle hésita longuement, perdant un temps considérable avant de finalement opter pour une robe. Mais pas n'importe laquelle, une robe qu'elle n'avait pas encore eu l'occasion de porter. C'était donc idéal. De couleur blanche voilé et structuré de pli en bas, elle arrivait pile au niveau des genoux, remontant alors sur une ceinture noir bien serré, avant de s'ouvrir en un grand V. Juste en dessous était cousu un vif noir, cachant impeccablement ce que personne n'était censé voir à part elle. Le tissu était léger, tout en étant lourd à la fois, permettant de ne pas s'envolé au moindre vent. Nul hésitation de plus, Maritza l'emporta avec elle dans la salle de bain, avant de se faufiler sous la douche. 20 mn plus tard, la voilà en train de peindre légèrement ces cils d'un trait noir de mascara. Il n'en fallut pas plus à la belle pour être prête. Optant pour attaché juste quelques mèches des cotés derrière à l'aide d'une pince. Une fois en bas, elle se rendit compte qu'il était presque l'heure, et qu'elle avait bien trop trainé. Elle choisit rapidement une paire d'escarpin à talon moyennement haut, et de couleur noir, prit ces clés, son portable et son sac, et fila à tout allure vers sa voiture. Il fut pile l'heure lorsqu'elle se gara et sortit de sa voiture. Prenant soin de vérifier son allure discrètement dans les vitres de son véhicule, avant de le verrouillé pour distinguer enfin Miguel. Il se trouvait quelques mètres plus loin, posé contre sa voiture, attendant patiemment que la jeune femme ne débarque. Maritza aurait aimé arriver quelques minutes en avance au moins, car il avait l'air d'être la depuis bien plus longtemps qu'elle. Il était la minute passé lorsqu'elle entama sa démarche gracieuse vers lui, son sac à main soulevé par le poignet, enfilant ces clés de voiture dans la poche de sa veste en cuir. Un sourire apparut sur le bord de ces lèvres lorsqu'elle atteignit enfin la distance d'un mètre de lui.

Je suis presque à l'heure! Affirma t'elle avant de s'arrêté pile devant lui. Tu attend depuis longtemps? Elle en profita pour le regarder de haut en bas en toute discrétion, constatant juste la tenue qu'il portait. Hum basket... dommage. Elle plongea ces yeux dans les siens, laissant son sac retomber le long de ces doigts fin.

Désolé, une erreur est survenue. Veuillez essayer d'actualiser la page. Miguel avait fait un effort surhumain en attendant Maritza, il n'avait pas fumé alors que l'envie était grande, mais rien que pour l'odeur qu'il pouvait dégager après l'absorption de nicotine. Il décida donc de l'attendre en cherchant les sujets qu'ils pourraient aborder sans trop de difficultés, dès le matin, il regarda sa montre et se dit qu'elle lui en voudrait surement de la faire lever aussitôt, mais Miguel devait prendre un vol le soir même pour assister à une formation sur les techniques de marchandage. Il s'inquiétait un peu de ne pas voir la jeune femme arrivait et c'est à ce moment -à qu'elle fit son apparition, elle sortit de sa voiture et se regarda dans les vitres de celle-ci, heureusement sinon elle aurait pu voir la réaction de Miguel qui fut simplement d'écarquiller les yeux, entrouvrir légèrement la bouche et les bras tombant, l'effet était réussi, mais il se ressaisit rapidement quand celle-ci s'avança vers lui, une démarche de féline avec un corps à ce damner et son visage si... parfait. Miguel lui décrocha un sourire digne d'une pub de dentifrice, il était tellement content de la voir même si cela devait faire trois à quatre jours qu'il ne l'avait pas vu, il ne voulait pas montrer son impatience et sa joie de la revoir, car elle trouverait ça louche et pourrait ainsi penser que Miguel éprouve quelques sentiments pour elle, bien que cela soit vrai, il n'avait aucune envie que cela se sache.

« Oui presque... »

Miguel souleva ses sourcils et eut un petit sourire en coin en disant cela, ce n'était pas bien grave pour lui un petit retard et surtout de la part de Maritza. Miguel aurait pu presque tout passer à Maritza tellement il en était accro, mais comme tout homme italien, la fierté de ne rien dévoiler devait rester intacte, il commençait à en avoir un peu marre de ça, mais il était aussi novice avec la drague subtile. Il prit Maritza dans ses bras pour la saluer, seulement quelques secondes pour ne pas qu'elle se sente oppressé, il lui lança un grand sourire avant d'ajouter.

« Non, enfin tout dépend de ce que tu entends par pas longtemps »

Miguel ne voulait pas forcement lui dire le nombre exacte de minutes pour l'embêter et laisser planer le doute qu'elle l'est fait attendre longtemps. Il se décolla de sa voiture pour prendre la main de Maritza et l'inciter à tourner sur elle-même pour l'admirer.

« T'es tout simplement merveilleuse »

Elle était radieuse, magnifique, bref Miguel n'avait plus trop de mot pour exprimer la beauté de la jeune femme, sa blondeur, ses grands yeux bleu, sa peau légèrement dorée...

La jeune femme c'était presque faite désirer. Et pourtant elle n'était pas du genre à arrivé en retard, bien au contraire, elle était plutôt de ceux qui arrive pile à l'heure. C'était presque le cas ce matin, et le temps qu'elle arrive à lui, la minute de retard était largement dépassé. Le beau brun avait, comme à son habitude, une allure classe. Le seul défaut qui fâche, Maritza eu le temps de s'en rendre compte une fois face à lui. Les chaussures... Ou plutôt "basket". Un curieux détails qui prétendait qu'il n'avait pas prévu de travailler aujourd'hui. Du moins c'est ce qu'en conclut la blondinette sur le moment. Nul besoin de se forcer pour lui sourire, le déclic fut immédiat lorsqu'elle atteignit son niveau. Elle admit sa faute, "presque à l'heure", ce que Miguel confirma d'ailleurs. Avant qu'il ne la saisisse pour la saluer dignement. La belle se laissa faire, l'étreignant doucement, tandis que ce parfum familier venait aguicher ces narines. Il faut avouer qu'il avait bon gout, et la jeune femme ne pourrait le nier. Une fois la distance équivoque revenu, elle lui demanda sans préavis s'il attendait depuis longtemps. Apparemment oui. Elle du y croire en vue de la réponse subsidiaire qu'il lui proposa. Un de ces sourcils se fronça, poussé par sa curiosité.

Ah... parce qu'il y a un seuil de "longtemps" différent chez chaque individu? Elle souria à nouveau, amusée par la dérivation du sujet. Bon je refais ma question alors... Tu est arrivé ya plus, ou moins de 5mn?

Si Miguel voulait jouer à ce jeu, il n'allait pas gagner. Maritza était particulièrement bien entrainé face à ce genre d'échange. Elle remonta d'un geste son sac, allant jusqu'à le porter sur son épaule. Plus résistant que son étroit poignet. Cela avant que Miguel n'ose enfin bouger, saisissant la main de la jeune femme, afin de la faire tourner sur elle-même. Heureusement qu'elle avait confiance en lui... Maritza se laissa donc faire, avant de se retrouver presque étourdit. Mais ne le démontrant pas, elle afficha son plus beau sourire. Sa robe avait suivie le pas, se laissant avancé par les plis qui la composait avant de se remettre gracieusement en place. Elle sentit rapidement ces joues rosir lorsqu'il lui dévoila son plus beau compliment. Ah oui.. monsieur était doué pour la flatterie. Agissait-il ainsi avec toutes les femmes? Cette question efflora à peine l'esprit de la belle, bien trop occupé à calmer ces ardeurs, lorsque ces joues reprirent une couleur "normal", elle osa enfin reposer ces prunelles sur le visage de son ami.

Merci... Mais ce n'est qu'une robe! Un petit clin d'œil, et la voilà déjà en train de le tirer par le poignet, se dirigeant inévitablement vers le café. Je te préviens, je meurs de faim!

» Anyone else but you | Maritza |
» 1min..5min..10min..??min [Maritza]